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PrÉSentation

  • : Le Blog de Laëtitia Rabih
  • : Blog de l'élue municipale de COLMAR et communautaire -CAC -Membre du PRG CENTRE-Gauche
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Enfants de Colmar

Je compte sur vous pour m'aider à faire progresser l'éthique en politique

pour que chacun trouve sa place avec l'espoir d'améliorer sa vie".

                             Merci pour votre confiance.   Laëtitia Rabih


                              E-mail de Laëtitia RABIH :mailto:laetitia.rabih@gmail.com

 

 


 

Téléchargez le programme :

http://www.planeteradicale.org/asp/contenu.asp?rub=149

 



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Texte Libre

Conseillère municipale déléguée de la ville de Colmar et Vic-présidente de la Communauté d'Agglomération de Colmar(CAC),

Je suis engagée depuis quinze ans dans la vie publique, je suis une élue du Centre-gauche, membre du PRG CENTRE-GAUCHE, je suis Présidente Régionale . 

Ma vision politique s'inscrit dans la recherche de consensus entre la responsabilité individuelle et les droits sociaux, entre la liberté d'entreprise et les services publics, entre les initiatives privées et les biens publics, entre la loi et le contrat.

"Demain vous appartient" :  C'est Réussir la République des Idées, fondée sur les bases d'un pacte social et républicain où chacun doit avoir la garantie de trouver sa place et l'espoir d'améliorer sa vie.

Cela ne se fera pas sans vous...@ bientôt pour échanger sur mon blog et dans notre Ville! 

E mail: mailto:laetitia.rabih@gmail.com

Pour me joindre  :  03 89 41 17 97

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VIE POLITIQUE

Miss Liberty par Frédéric Auguste Bartholdi

Né à Colmar le 2 août 1834, F.A Bartholdi décedera le 5 octobre 1904 à Paris. L'Alsace et la Lorraine redeviendront françaises en 1918.

La Statue de la Liberté éclaire le monde à l'aide d'une torche brandie de la main droite. A ses pieds, se trouvent les chaînes brisées de l'esclavage. Tout un symbole résumé par le poème  gravé sur son piedestal qui s'adresse aux millions d'immigrants :

"Donne-moi tes pauvres, tes exténués,

Qui en rangs pressés aspirent à vivre libres,

Le rebut de tes rivages surpeuplés,

Envoie-les moi, les déshérités, que la tempête me les rapporte,

De ma lumière, j'éclaire la porte d'or!"      

 Emma Lazarus "The new colossus"

 Jean-Jacques WALTZ dit Hansi

Le fameux Hansi naît le 23 février 1873, à Colmar, c'est-à-dire en Alsace Allemande. Grâce à son talent graphique, il devient un des symboles de la résistance alsacienne à l'Allemagne. Sa satire lui vaut plusieurs condamnations devant les tribunaux allemands.

Un groupe colmarien aux Eurockéennes 2007 !

Les colmariens HOLLOW CORP ont remporté samedi l’épreuve qui leur permettra de figurer dans la programmation officielle des Eurockéennes de Belfort les 29, 30 juin et 1 juillet prochain.

Bien au rendez vous, ils sont nos favoris!  Ils doivent leur sélection à un impeccable set tout en puissance, un répertoire original et une démarche qui en 2006 les a vu signer sur le label suédois Dental Records.” (source : artefact.org) .        Bravo à eux !

14 février 2007 3 14 /02 /février /2007 14:53
ANNEE 2001
Morceaux choisis de mes principales interventions d'élue municipale


(...)" Laëtitia Rabih devient conseillère municipale de Colmar à la suite du retrait de Serge Rosenblieh, tête de liste de "Rassemblés"(...)
(...)"Serge Rosenblieh a annoncé hier matin qu'il renonçait à son mandat de conseiller municipal obtenu dimanche dernier en tant que leader de la liste "Rassemblés". Il ne siègera pas aujourd'hui, à 10h, au Koïfhus pour la première réunion du nouveau conseil municipal. Il sera remplacé par le suivant sur sa liste, en l'occurrence Laëtitia Rabih (...)
Extrait de l'Alsace du 17/03/2001

(...)
" Serge Rosenblieh démissionne" (...)
(...) " Suite au départ de Rosenblieh, Laëtitia Rabih, du parti radical de gauche, huitième sur la liste Rassemblés, fait son entrée au conseil municipal (...)
Extrait des DNA du 17/03/2001

1ère intervention de Laëtitia Rabih au Conseil municipal de Colmar
Monsieur Le Maire,
Mesdames et Messieurs les adjoints, Chers collègues,

Je tiens tout d'abord à remercier les colmariens et à vous affirmer toute mon bonheur et toute ma fierté de siéger avec vous, dans cette assemblée au service des hommes et des femmes de notre ville. C'est en effet pour moi un insigne honneur que de servir ma ville, au sein de l'assemblée municipale où se dessine jour après jour l'histoire colmarienne et où se sont succédés Edouard Richard, Joseph Rey et Edmond Gerrer... Je représente ici la sensibilité radicale de gauche, qui se situe au centre gauche de l'échiquier politique. Je siège avec mes amis élus de la liste "Rassemblés pour Colmar" conduite par Serge Rosenblieh à qui je souhaite rendre hommage publiquement pour ses convictions démocratiques et républicaines. C'est dans un esprit serein et positif que j'aborde les six années à venir, que je souhaite placer sous le signe de l'intérêt général. Enfin, si je souhaite que nos échanges soient vifs et empreints de "Notre passion pour Colmar", je ne les conçois qu'avec "Dialogue et action" pour que nos forces politiques soient "Rassemblé(e)s pour Colmar".

Texte adressé par Serge Rosenblieh à la presse, publié par les DNA le 17/03/2001

"La conclusion qui s'impose"
"J
' ai décidé de ne pas siéger au sein du nouveau conseil municipal sorti des urnes le 11 mars. Plusieurs raisons motivent ma décision qui a été difficile à prendre. Je suis conseiller municipal depuis 18 ans et j'ai été candidat à trois reprises aux fonctions de maire en 1989, 1995 et 2001. Il faut avoir le courage de reconnaître que les Colmariens ont manifesté leur volonté de ne pas me confier la conduite de la ville. Il est donc sage d'en tirer la conclusion qui s'impose et de démissionner. La deuxième raison est la conséquence de la première. J'assume entièrement l'échec du 11 mars. Je pense qu'il appartient à présent à d'autres de porter les idées et les valeurs humanistes de gauche auxquelles je crois. Le renouvellement, en politique comme ailleurs, est sain et nécessaire.
Je pars avec le sentiment d'avoir fait ce que je devais faire. Notre score de 1995 avait suscité beaucoup d'espoir et pendant six ans nous avons bataillé pied à pied pour défendre nos idées, nos convictions et dénoncer les dérives du maire sortant (dossier de l'eau, musée Buffet, liens avec l'extrême droite, pressions sur le personnel municipal et sur les associations, utilisation des moyens d'information de la ville aux fins de propagande, développement du culte de la personnalité...). La campagne électorale qui vient de s'achever, avec l'omniprésence du discours sécuritaire, a permis à mon adversaire d'accentuer encore sa démarche clientéliste démagogique et mégalomane.
Par respect des électeurs et de l'idée que je me fais du débat politique, j'ai refusé de le suivre dans cette voie en opposant un populisme de gauche à un populisme de droite. J'ai défendu mon programme pour la ville sans sectarisme ni facilité. Je n'ai malheureusement pas su me faire entendre ni me faire comprendre.
A tous ceux, à gauche, mais aussi à droite, qui sont aujourd'hui découragés, je dis qu'il ne faut pas renoncer ni perdre espoir. Pour ma part, si je renonce au conseil municipal, je reste un militant déterminé et le groupe municipal Rassemblés, mes colistiers, les militants et sympathisants peuvent compter sur moi pour les épauler dans les combats futurs, et faire en sorte qu'un électeur sur deux ne s'abstienne pas de voter comme ce fut hélas encore le cas dimanche dernier. Je tiens enfin à remercier du fond du coeur tous ceux qui depuis 18 ans m'ont aidé. Je ne les oublie pas et je reste à leurs côtés dans cette ville qui est la mienne - n'en déplaise à certains - et que j'aime. Et qui mérite mieux".


(...) Démocratie de proximité (...)
(...) le groupe Rassemblés dénonce la méthode municipale qui consiste à faire voter des riverains sur des projets avant même que le conseil municipal en soit saisi. Laëtitia Rabih regrette cette façon d'agir qui court-circuite le conseil municipal. La jeune élue, rabrouée par la majorité, a eu du mal à se faire entendre "Pour travailler avec une opposition constructive, il ne faudrait pas que chaque fois le groupe Rassemblés prend la parole, ça soit mal pris", s'est-elle défendue. Monique Marchal est venue épauler sa colistière. "Que restera-t-il aux élus si les riverains se sont déjà prononcés? Il ne faut pas oublier que c'est l'intérêt général qui doit primer". Laëtitia Rabih craint en effet que le choix de quelques habitants s'impose à l'assemblée, et par-là même aux 60 000 autres Colmariens usagers (...). Elle s'inquiète de la gêne occasionnée aux magasins pendant les travaux (Place des Martyrs); pour les commerçants du marché qu'il est question de faire déménager place de la Mairie et que ça n'enchante pas. Elle dénonce la suppression des stationnements. Et s'interroge avec ironie : "Est-ce pour remplir le parking Rapp?" Au-delà de la méthode, l'opposition critique le manque de vision globale, le saucisonnage des projets qui ne prennent pas en compte le plan de déplacements urbains (...)
Extrait des DNA du 25 /04/ 2001

(...) Laëtitia Rabih, du groupe "Rassemblés", est longuement intervenue sur le projet de mise en surface partielle du Muhlbach, place des Martyrs. Pas sur le fond mais sur la méthode : "La réunion des rivearins n'a pas été officiellement rendue publique. Certains ont été invités, d'autres non. Sur quels critères? Il y a eu un vote à main levée. Est-ce là un semblant de démocratie ou le choix fait par seize personnes s'imposera-t-il, sans débat public aux 67 147 autres colmariens?". Dans la majorité, Gérard Renis a rappelé (...) : "C'est ça la démocratie; c'est pour cela qu'on a été réélu". Robert Guthmann, encore plus véhément : "C'est bien d'être jeune et emportée, mais on ne vous a pas attendue pour réfléchir". (...)
Extrait de l'Alsace du 26/04/2001

(...) Moqueurs (...)
(...) Côté majorité, on affiche la tranquille assurance des vainqueurs, avec au détour quelques réflexions un rien condescendantes envers les nouveaux élus de "Rassemblés". Gilbert Meyer à Rodolphe Echard : "Vous verrez, dans deux trois ans, ça ira mieux". A Laëtitia Rabih : " Vous êtes trop nouvelle pour me faire une leçon sur la coopération intercommunale" (...).
Extrait de l'Alsace du 13/06/2001

 Logements sociaux : rétablir l'équilibre
(...) L' adjoint J.J. WEISS a annoncé que la municipalité avait décidé de ralentir fortement le rythme de construction de logements publics à Colmar : 327 logements prévus pour la période 2001-2006 contre 1 307 entre 1995 et 2000. La Ville souhaite en effet un rééquilibrage vers les communes voisines. Colmar concentrant actuellement 93% des logements publics de l'agglomération. La loi "Solidarité et renouvellement urbain" devrait aller dans ce sens, en imposant un seuil de 20% de logements publics aux communes de plus de 3 500 habitants (Wintzenheim, Turckheim, Horbourg-Whir ou Ingersheim sont concernés).
Pour "Rassemblés", Laëtitia Rabih s'est inquiétée des "quelques 1 000 demandes de logements sociaux en instance" et a voulu savoir si le maire connaissait les intentions de constructions dans les communes périphériques. Pas question de faire de l'ingérence dans la politique des voisins, a rétorqué Gilbert Meyer (...).
Extrait de l'Alsace du 13/06/2001

Logements publics : moins de construction
Le conseil municipal de Colmar a décidé lundi de limiter la construction de logements publics à 327 unités d'ici 2006. Trop peu, selon l'opposition (...) "Pouvez-vous nous faire savoir les démarches de concertations entreprises [pour favoriser la favoriser la construction publique dans l'agglomération] dans ce sens?", a demandé Laëtitia Rabih estimant "hâtif de limiter la construction à 55 logements par an, (...) pour la durée de la mandature". (...) Gilbert Meyer a estimé qu'il n'avait pas à intervenir dans la politique de logements des autres communes : "C'est ce qu'on appelle de l'ingérence". "Le Maire de Colmar doit initier une démarche dans le cadre de la grande agglomération : l'absence d'une communauté d'agglomération fait cruellement défaut en matière de logement public, alors qu'il y a des gens qui attendent un logement depuis des années", a considéré Laëtitia Rabih. N'ayant pas obtenu la dissociation qu'elle demandait entre le rapport sur le Palais Royal (qu'elle approuve) et le programme de constructions, l'opposition Rassemblés n'a pas pris part au vote.
Extrait des DNA du 13 Juin 2001

Gare : projet à quai
Le réaménagement du quartier de la gare et de la place des Martyrs a recueilli l'approbation génarale du conseil municipal de Colmar hier. L'opposition a proposé d'ajouter un centre de congrès au premier. (...)
"Une danseuse" Le groupe suggère, par la voix de Laëtitia Rabih, que le projet intègre l'implantation d'un "centre de congrès, rue de la Gare ou rue du Tir". L'élue juge que les infrastructures municipales d'accueil existantes ne sont pas adaptées. "Ce ne sera pas une danseuse si la ville s'appuie sur un partenariat financier public/privé pour sa construction" dit-elle. Sans convaincre le maire : "Laissons les architectes-urbanistes proposer ce qu'il convient d'implanter.(...)
Extrait des DNA du 03/07/2001

Faut-il construire un centre de congrès ?
Laëtitia Rabih 
est d'avis qu'un centre de congrès amènerait de l'emploi et des touristes à Colmar. Elle a reçu le soutien de Daniel Buchinger, l'élu dissident de droite. Pour faire venir les touriste on ne vous a pas attendu, lui rétorque le maire. Gérard Renis estime qu'avec le parc-expo, les Catherinettes et le théâtre, Colmar est déjà bien équipée pour faire face aux demandes, "pas plus de 20 par an", des congressistes. Plus nuancé, Richard Riehm note que l'activité Espace Congrès de l'Office de Tourisme n'est pas rentable, "en raison d'une offre disparate au centre-ville et peu attractive sur un marché très concurrentiel". Peu de centres de congrès étant rentables en France, l'élu estime qu'il y aurait lieu de commander à un cabinet spécialisé une étude pour avoir une projection sur cinq ans.
Extrait des DNA du 04/07/2001

Gare à un centre de congrès?
" Heureusement que l'arrivée du TGV en Alsace va accélérer la mutation du quartier gare et permettre l'aboutissement d'un dossier en gestation depuis 1991. Nous voterons pour cet appel d'offres et approuvons la charte (d'aménagement du quartier gare.ndlr)...à un tram près, bien sûr!" Après cette réflexion de Nicole Héring, le groupe "Rassemblés" a donc approuvé l'appel d'offre pour faire plancher trois cabinets d'architectes sur le réaménagement du quartier gare, décision adoptée à l'unanimité.(...)
Mais surtout, l'examen de ce réaménagement des alentours de la gare a donné lieu à un débat sur l'opportunité d'y inclure la création d'un centre de congrès, une suggestion faite par Laëtitia Rabih : "Il pourrait se localiser rue de la gare, sur le terrain du Département, ou rue du Tir" a précisé l'élue avant d'avancer ces arguments : "Le bâti existant à Colmar n'est pas adapté à l'activité congressiste. Il y a eu beaucoup d'emplois perdus, un centre de congrès pourrait générer des activités et des richesses nouvelles. Quant à son coût, on peut imaginer des partenariats (CCI, acteurs privés...) ou un cadre intercommunal". Gilbert Meyer n'a pas semblé convaincu : "Les bureaux d'études nous diront ce qu'on peut mettre dans ce quartier gare, mais sincèrement, je ne pense pas qu'un centre de congrès puisse se mettre à cette hauteur (...). Je vous défie de trouver un seul investisseur privé acceptant un cofinancement avec un investisseurs public" (...)
Extrait de l'Alsace du 04/07/2001

Pas de cantine aux Lilas
Au point divers, Laëtitia Rabih signale l'absence d'accueil périscolaire et de cantine à l'école maternelle Les Lilas. Beaucoup de parents qui veulent travailler souhaiteraient disposer de ce service, note la conseillère d'opposition qui propose à la Ville de mettre
en place un ramassage des enfants leur permettant de déjeuner à l'école Jean-Jacques Waltz. L'absence de restauration a aussi une conséquence néfaste sur les effectifs de l'école : les demandes de dérogation sont à l'origine de la fermeture de la 5ème classe (...).
Extrait des DNA du 04/07/2001





Arrêté Place Rapp     "Démesuré" par Laëtitia Rabih (PRG)

L'
arrêté du maire de Colmar interdisant certaines activités Place Rapp (jeux d'eau, roller...) provoque une nouvelle réaction. Dans un long communiqué, Laëtitia Rabih présidente du Parti Radical d'Alsace de gauche et conseillère municipale juge la mesure "démesurée". Voici quelques extraits de sa lettre :

   "La Place Rapp a été remodelée pour être rendue aux Colmariens (...). Mais les nouveaux types de regroupements et d'expression dont elle a été le théâtre, ont créé un climat d'inquiétude. Tout rassemblement peut conduire à des excès et parfois à des accidents corporels, comme nous avons malheureusement pu le voir lors du passage du Tour de France. Faut-il pour autant interdire le Tour de France?
   Certains ont estimé que les activités spontanées Place Rapp portaient en elles des germes de désordre (...). Un encadrement de prévention n'aurait-il pas suffi à se parer contre d'éventuels risques pendant la période estivale (de toute évidence, ces activités cesseront aux premiers frimas)?
  Que les exagérations comportementales fassent l'objet d'un rappel à la loi, voire de sanctions, ne me paraît pas anormal. Mais de là à ce que les jeux de nos enfants soient frappés d'interdiction apparaît outrancier et demesuré. L'arrêté municipal semble plus destiné à couvrir la responsabilité de certains qu'à (...) éviter les risques aux usagers.
  Tout aussi préoccupante est la réaction de crispation que la spontanéité provoque à Colmar avec une assimilation systématique par certains, au désordre et à l'anarchie.
   Le phénomène "Plage Rapp" met l'accent sur le manque d'espaces et de jeux extérieurs gratuits avec possibilité de se rafraîchir par temps caniculaires. Ceux qui existent à Colmar, répondent-ils aux besoins? Pendanr longtemps, des enfants se retrouvaient pour jouer dans l'eau au square Méquillet, où le bassin a été fermé pour des raisons de sécurité. Sans que son remplacement soit envisagé".
Extrait des DNA du 29/08/2001

Place Rapp : Réaction des Radicaux de Gauche
Pour les radicaux de gauche dont elle est la présidente régionale, Laëtitia Rabih, conseillère municipale de l'opposition colmarienne,nous a fait parvenir un log communiqué à propos du récent arrêté municipal interdisant notamment les jeux sur la place Rapp (...).
   "Certains ont estimé que les activités spontanées de loisirs et de détente place Rapp oscillant entre vie privée et vie publique portaient en elles des germes de désordre, d'atteinte même à l'intégrité des personnes et des biens. Et pourtant, un encadrement d'ambiance et de prévention n'aurai-il pas suffi à prévenir d'éventuels risques pendant la période estivale?", s'interroge notamment Laëtitia Rabih qui poursuit : "Que les exagérations comportementales soient l'objet d'un rappel à la loi, voire de sanctions, cela , ne paraît pas anormal, mais que les jeux de nos enfants soient frappés d'interdiction par arrêté municipal apparaît outrancier et démesuré [...]".
Extrait de l'Alsace du 30/08/2001

Commentaire de Christian BACH - Journaliste des DNA
Les pour et les contres
C'est sa signature, au bas d'un arrêté en date du 17 août 2001, qui a lancé le débat. Mais le maire de Colmar, Gilbert Meyer, ne s'était pas, jusqu'à hier, exprimé sur le nouveau règlement de la Place Rapp.
En "fermant" la "plage Rapp", Gilbert Meyer a provoqué les réactions de bon nombre de Colmariens, anonymes et aussi celles de ses adversaires politiques qui voient en lui un maire "liberticide". Il est fort à parier que l'intéressé avait prévu ces protestations.
Car l'occasion était belle pour le premier magistrat de peaufiner auprès de son électorat son image d'élu partisan de l'odre et de la fermeté. Comme pour l'arrêté "anti-mendicité", la querelle le sert autant (sinon plus?) qu'elle le dessert. Là réside toute la difficulté pour l'opposition municipale qui s'exprimait hier sous la plume de Laëtitia Rabih : comment porter la contradiction publiquement face à un homme qui prend chacun des désirs de ses électeurs pour des ordres? Fût-ce au prix d'un désaveu partiel par le tribunal administratif, comme ce fut le cas pour l'arrêté anti-mendicité. Fût-ce au prix d'une levée de boucliers de la composante libérale de l'opinion.
Douche...Les jeux d'eau, les pique-niques, les bains de soleil importunaient des riverains de la place Rapp. Le maire a réagi et signé un nouveau règlement. Une fois de plus, son geste répond à un problème particulier et comporte, par sa vigueur et sa rapidité, une dimension politique. Un gage à ses électeurs... et une douche froide pour ses adversaires.
Extrait des DNA du 30/08/2001


"Mieux vaut supprimer les séances publiques"  par Bernard Rodenstein
Ancien conseiller municipal de l'opposition, Bernard Rodenstein réagit au contenu du nouveau règlement intérieur auquel doivent à présent se soumettre les élus locaux. "Exercer un mandat de conseiller municipal d'opposition, à Colmar, nécessite aujourd'hui un courage et une abnégation hors pair, écrit-il. La tâche peut être exhaltante lorsque les conditions du débat démocratique sont réunies. Nous l'avons expérimenté du temps de feu Edmond Gerrer". Evoquant les deux dernières réunions du conseil municipal, il poursuit : "Lorsque le moindre désaccord vire au règlement de comptes [...] ou lorsque le silence devient la règle [...], il faut arrêter de se leurrer. Le régime du parti unique est instauré de fait, même si quelques apparences de démocratie locale subsistent. Ce ne sont que des apparences. Mieux vaut dans ce cas supprimer les séances publiques du conseil municipal. En réduisant l'opposition au rôle de "punching-ball", on peut faire rire une partie de l'opinion publique qui apprécie volontiers les forts et méprise les perdants". Le pouvoir qui pousse son outrance jusque-là se déconsidère", estime Bernard Rodenstein qui déplore qu'"il dépouille le système démocratique de son rouage essentiel : le débat citoyen".
Extrait de l'Alsace du 19/10/2001

Sorties scolaires
Laëtitia Rabih
fait état de problèmes financiers rencontrés par les écoles pour assurer le transports des enfants lors de sorties culturelles en ville. Une situation qui les priverait, selon elle, d'une visite à l'exposition sur les ours au Musée du Jouet ou au marché de Noël. Pour Florence Dirand, adjointe chargée de la petite enfance, les subventions municipales allouées aux différents établissements scolaires doivent leur permettre, entre autres, d'assurer ces déplacements. Extrait des DNA du 21/11/2001

A table?

Laëtitia Rabih, une nouvelle fois, a déplorer l'absence de cantines dans les écoles des Lilas, des Horensais et aux Marguerites. Jugeant "irréaliste" que chaque école dispose d'un lieu de restauration, Florence Dirand a toutefois indiqué que des extensions étaient programmées dans les écoles Serpentine et Barrès? L'adjointe chargée de la petite enfance s'est dite prête à examiner la proposition de Laëtitia Rabih d'instaurer des arrêts de desserte des écoles Lilas et Hortensias, situées sur le trajets du bus qui transporte déjà les élèves de Sébastien-Brant se restaurant à Jean-Jacques Waltz.
Extrait des DNA du 21/11/2001

Lilas, Hortensias...
Laëtitia Rabih
a une fois encore évoqué les problèmes de cantines pour les écoles des Lilas et des Hortensias. (...) Par ailleurs, la conseillère a relayé les plaintes de ces écoles et des Marguerites pour se rendre en ville voir des musées(...). Extrait de l'Alsace du 21/11/2001

Taxe de séjour
Pour 2002, les tarifs de la taxe de séjour sont maintenus après conversion en euros. Laëtitia Rabih s'intéresse à l'utilisation du produit de cet impôt. Elle cite l'exemple de Mulhouse qui met en commun une partie des fonds prélevés pour financer des actions de promotion collective en faveur de plusieurs communes. "Le système n'existe pas à Colmar pour la bonne raison que les localités environnantes ne se sont pas prononcées pour la perception de la taxe de séjour", explique Richard Riehm. L'Adjoint au tourisme rappelle qu'à Colmar, son montant permet notamment de financer la valorisation nocturne.
Extrait des DNA du 21/11/2001

Mulhouse is the best
A plusieurs reprises, lundi soir, le groupe Rassemblés a cité la ville de Mulhouse en exemple. Lors du vote de la conversion des tarifs de la taxe de séjour en euros, qui n'entraînera pas d'augmentation (...). Laëtitia Rabih a posé la question : "L'office de tourisme de Colmar procède-t-il aux réservation des établissements hôteliers des communes environnantes comme le fait l'office mulhousien?". Cet exemple lui semble intéressant notamment parce-qu'il permet une mise en commun d'une partie des taxes de séjour prélevées pour des actions de promotion communes. Richard Riehm a répondu que, sur le secteur, seul le ban de Colmar perçoit une taxe de séjour et qu'il existait, effectivement, "un hiatus" sur ce point. Il a rappelé que la taxe de séjour avait rapporté en quatre ans 4.22MF; somme qui servirait à payer une partie des investissements pour l'illumination de la ville à Noël (8.1 MF).
Extrait des DNA du 21/11/2001

Pour un journal municipal en braille
(...)Alors que le rapport consacré au lancement de la consultation qui permettra de retenir l'entreprise chargée de l'exécution de la maquette et de l'impression du journal municipal (...) n'appelait pas de débat particulier, une intéressante proposition est venue des bancs du groupe Rassemblés : celle de doter "Le Point Colmarien" d'une édition en braille et en caractères agrandis, à destination des malvoyants et des personnes âgées. (...)
"Cette mesure signifierait que chaque Colmarien doit pouvoir avoir accès à l'information qui le concerne, notamment quand elle est délivrée par les institutions publiques", a argumenté Laëtitia Rabih, qui a informé l'exécutif municipal de l'existence d'un nouveau procédé d'impression en braille, caractérisé par un coût inférieur à celui des techniques habituellement utilisées.(...)  Extrait des DNA du 21/11/2001

Ils sont d'accord !
Incroyable, mais vrai : la droite et la gauche colmarienne sont tombées d'accord lundi soir. Sur un seul point, certes; mais quand même ! Après avoir décidé de lancer une procédure de mise en concurrence concernant la fabrication du journal municipal Le Point (35 000 exemplaires; 134 155€), Laëtitia Rabih a pris la parole pour proposer de doter le magazine d'une édition en braille et en carctères agrandis afin de toucher les personnes déficientes visuelles, y compris les personnes âgées. Elle a cité les villes comme Moulins, Caen ou Rouen qui avaient mis en place ce principe et a informé ses collègues d'un nouveau procédé d'impression en braille par projection d'encre durcie, moins onéreux que l'embossage ou le gaufrage. Réponse de Jacques Dreyfuss : "On ne peut rejeter cette proposition qui est légitime. Il faut recenser les besoins et faire une étude sur le coût". Alléluia !
Extrait de l'Alsace du 21/11/2001





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