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PrÉSentation

  • : Le Blog de Laëtitia Rabih
  • : Blog de l'élue municipale de COLMAR et communautaire -CAC -Membre du PRG CENTRE-Gauche
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Enfants de Colmar

Je compte sur vous pour m'aider à faire progresser l'éthique en politique

pour que chacun trouve sa place avec l'espoir d'améliorer sa vie".

                             Merci pour votre confiance.   Laëtitia Rabih


                              E-mail de Laëtitia RABIH :mailto:laetitia.rabih@gmail.com

 

 


 

Téléchargez le programme :

http://www.planeteradicale.org/asp/contenu.asp?rub=149

 



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Texte Libre

Conseillère municipale déléguée de la ville de Colmar et Vic-présidente de la Communauté d'Agglomération de Colmar(CAC),

Je suis engagée depuis quinze ans dans la vie publique, je suis une élue du Centre-gauche, membre du PRG CENTRE-GAUCHE, je suis Présidente Régionale . 

Ma vision politique s'inscrit dans la recherche de consensus entre la responsabilité individuelle et les droits sociaux, entre la liberté d'entreprise et les services publics, entre les initiatives privées et les biens publics, entre la loi et le contrat.

"Demain vous appartient" :  C'est Réussir la République des Idées, fondée sur les bases d'un pacte social et républicain où chacun doit avoir la garantie de trouver sa place et l'espoir d'améliorer sa vie.

Cela ne se fera pas sans vous...@ bientôt pour échanger sur mon blog et dans notre Ville! 

E mail: mailto:laetitia.rabih@gmail.com

Pour me joindre  :  03 89 41 17 97

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VIE POLITIQUE

Miss Liberty par Frédéric Auguste Bartholdi

Né à Colmar le 2 août 1834, F.A Bartholdi décedera le 5 octobre 1904 à Paris. L'Alsace et la Lorraine redeviendront françaises en 1918.

La Statue de la Liberté éclaire le monde à l'aide d'une torche brandie de la main droite. A ses pieds, se trouvent les chaînes brisées de l'esclavage. Tout un symbole résumé par le poème  gravé sur son piedestal qui s'adresse aux millions d'immigrants :

"Donne-moi tes pauvres, tes exténués,

Qui en rangs pressés aspirent à vivre libres,

Le rebut de tes rivages surpeuplés,

Envoie-les moi, les déshérités, que la tempête me les rapporte,

De ma lumière, j'éclaire la porte d'or!"      

 Emma Lazarus "The new colossus"

 Jean-Jacques WALTZ dit Hansi

Le fameux Hansi naît le 23 février 1873, à Colmar, c'est-à-dire en Alsace Allemande. Grâce à son talent graphique, il devient un des symboles de la résistance alsacienne à l'Allemagne. Sa satire lui vaut plusieurs condamnations devant les tribunaux allemands.

Un groupe colmarien aux Eurockéennes 2007 !

Les colmariens HOLLOW CORP ont remporté samedi l’épreuve qui leur permettra de figurer dans la programmation officielle des Eurockéennes de Belfort les 29, 30 juin et 1 juillet prochain.

Bien au rendez vous, ils sont nos favoris!  Ils doivent leur sélection à un impeccable set tout en puissance, un répertoire original et une démarche qui en 2006 les a vu signer sur le label suédois Dental Records.” (source : artefact.org) .        Bravo à eux !

18 avril 2007 3 18 /04 /avril /2007 11:38

Une révolution pour corriger le déficit républicain

Pourquoi et pour qui voter?   Quand les députés que l'on désigne n'ont plus voix au chapitre pour orienter des politiques qui sont décidées ailleurs!

Pourquoi voter?   Quand la droite ou la gauche mène les mêmes politiques, quel que soit le résultat de l'élection!

Vous êtes nombreux pendant cette campagne à m'interroger avec légitimité : le peuple n'est plus vraiment souverain, les élus sont irresponsables, la défiance à l'égard du système politique s'installe et, partout en Europe, on constate la progression de l'abstentionnisme ou du vote pour une droite nationaliste, xénophobe et anti-européenne.

La Liberté guidant le Peuple d'Eugène Delacroix

Le risque d'une rupture démocratique existe...

Les sondages, montrent également la persistance d'une méfiance citoyenne à l'égard de l'exécutif et des parlementaires, même si a contrario, ils se montrent très attachés à leurs élus locaux et à l'existence de leur commune. Il y a bien une crise de la démocratie représentative nationale et plus qu'un doute sur les modes d'organisation et d'action de l'exécutif, avec ces questions constamment posées : Qui a véritablement le dernier mot? Le Parlement, le 1er ministre, ou le Président? Qui des 3 a la capacité réelle d'orienter la décision?

Même si la vivacité du débat lors du Référundum sur le projet de Constitution Européenne et la participation au scrutin ont montré que les Françaises et les Français n'avaient pas perdu goût à la politique et savaient retourner aux urnes, il n'en demeure pas moins vrai également qu'il y a bien un éloignement important des citoyennes et des citoyens des institutions.  Nombreux sont ceux qui se détournent de la vie politique malgré des retours ponctuels aux urnes, et semblent oublier les parlementaires aussitôt après les avoir élus.

Plus préoccuant encore : au-delà de cette perte de confiance des élus nationaux, force est de constater que l'action politique, qui fait la vie républicaine, semble réservée à quelques uns. Les individus n'ont pas du tout le sentiment de pouvoir participer aux choix politiques, de société, et sont exclus de l'élaboration des lois et des règles de vie collective.

Nous nous retrouvons ainsi dans un système politique paradoxal où une fraction des électeurs qui ont le plus besoin d'une autre politique que celle, néolibérale, proposée par la droite, ne participe plus aux choix politiques.

Résultat : la présence du leader populiste d'extrême droite au second tour de l'élection présidentielle. Jacques CHIRAC l'emporte par défaut d'adversaire véritable, sans combat et avec le soutien massif de l'électorat de gauche.

Qu'a fait la nouvelle droite au pouvoir ?

Même si la droite ne peut être tenue pour unique responsable du délitement des principes démocratiques, sa faute majeure contre la République et contre la démocratie réside dans le fait de n'avoir pas voulu prendre la pleine mesure de la crise politique manifestée par le vote du 21 avril 2002. Au pouvoir, la droite a pourtant eu l'opportunité et les moyens d'y répondre.

Qu'a-t-elle entrepris pour refonder notre démocratie? En matière d'institutions politiques : Rien ! C'est parce-que pour la droite, nos institutions sont idéales en ce qu'elles permettent de gouverner sans contrôle parlementaire effectif. Pour elle, il est évident qu'il serait difficile d'imposer la privatisation de tous les biens publics, du démentèlement du code du travail et de la redistribution des revenus du capital et des plus riches, si elle devait s'assurer pour cela du soutien du plus grand nombre d'entre nous. C'est pour cela que la nouvelle droite libérale n'est pas en faveur de l'avènement d'une VIème République.

Ce que je veux : c'est rendre à nos institutions leurs assises populaires

Il est donc temps de donner accès à tous à la vie politique, que nous engagions les choix d'une véritable révolution démocratique qui nous conduira vers une VIème République parlementaire, lisible, proche, ouverte, accueillante et efficace. Tel est le sens de tous celles et ceux qui portent ce projet : rendre à nos institutions ce qu'elles n'auraient jamais dû perdre : leurs assises populaires.

Quelle est la situation?

Après les blocages provoqués par des cohabitations successives, une élection présidentielle tronquée, la manipulation du pouvoir central par une majorité dévorante, par une professionnalisation accentuée des mandats électifs, et une distanciation accrue entre le pouvoir et les citoyens, il est plus qu'urgent de fonder une République nouvelle. Ceux qui s'accrochent à la Vème République s'accrochent surtout à leurs intérêts politiques les plus égoïstes et font fi des signes de grondements citoyens de plus en plus audibles. Mon parti politique, le PRG a été le premier à déposer un projet de réforme de la Constitution pour instaurer la VIème République et les radicaux se réjouissent que de plus en plus de reponsables politiques, de mouvements associatifs les aient suivis. Maintenant il faut choisir.     
                                                                                                                                          Buste de Marianne

        Ce que je propose : en cours de rédaction...merci de votre patience...
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commentaires

P
Les Radicaux dénoncent les institutions de la Ve République depuis 1958 et Gaston Monnerville, en particulier, en fut un adversaire résolu. La question de la réforme des institutions de la Ve n’est donc pas nouvelle et les radicaux de gauche se félicitent que Ségolène Royal ait rejoint leur position sur ce sujet crucial, alors que le PS l’avait écarté de sa synthèse au Mans. Le parti radical de gauche, dont les parlementaires avaient déposé, lors de la session 1999-2000, une proposition de loi constitutionnelle tendant à la mise en place d'une VIe République (http://www.senat.fr/leg/ppl99-370.html), avait pour sa part inscrit la réforme des institutions dans son programme de Rennes en 2006, et il en fait l’une des priorités de son projet législatif.
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